Nos dernières productions


ENTRE, C'EST OUVERT !

Alain COLAS

Adaptation et mise en scène Alain Colas

avec

Julien Bouharis

Alain Colas

et en alternance

Aimeric Miriel - Valentin Colas

 

 

Décor Patricia guilloteau

Régie Lumière Eddy Krahenbuhl

Régie son Quentin Avrillon

CLOWN POUR CIBLE

Jean-François CHAMPION

Adaptation et mise en scène Alain Colas

avec

Élisabeth d'Armagnac

Claude Chassagnoux

Claude Albert-Gondrand

Alain Colas - Damien Hirschinger

et en alternance

 Aimeric Miriel - Jérémie Aguera

 

Décor Patricia Guilloteau

Régie lumière Eddy Krahenbühl

Bande son Raphaël Guillemot

LE VISITEUR

Eric-Emmanuel SCHMITT

Adaptation et mise en scène Alain Colas

avec

Kristine Dupré

Claude Albert-Gondrand

Alain Colas

Kévin Dugast

 

Décor Patricia Guilloteau

Régie Lumière Joris Vigouroux

Bande son Nicolas Dubois

Régie son Alexandre Dulac



CHACUN SA CROIX

Jean-Christophe BARC

Adaptation et mise en scène Alain Colas

avec

Kristine Dupré

Sarah Taupenot-Wilhelm

Alain Colas

Michel saint-Pierre

Max Duffault

 

Décor Patricia Guilloteau

Régie lumière Joris Vigouroux

Régie son Mickael Legay

 

 


L'AFFRONTEMENT

Florian Bertaud

Alain Colas

 

Décor Patricia Guilloteau

Vitrail Christian Rolle

Régie lumière Isabelle Gaye

Régie son Lionel Gaye



MATHILDE

Véronique OLMI

Adaptation et mise en scène Alain Colas

 

avec

Kristine Dupré

Alain Colas

 

 

Décor Patricia Guilloteau

Régie lumière - son Joris Vigouroux


JALOUSIE, JALOUSIES...

 

Marc CAMOLETTI

Adaptation et mise en scène Alain Colas

avec

Kristine Dupré

Christine Elisseieff-Nouet

Tina Rakotonirina

Edwige Urbin

Alain Colas - Max Duffault

 

Décor  Patricia Guilloteau

Régie lumière Joris Vigouroux

 

 

 


"ENTRE, C'EST OUVERT !"

Alain COLAS

Saison 2008-2009

L'action se déroule un samedi soir dans l'appartement de Nicolas Talminck, un célèbre auteur de romans policiers, célibataire endurci mais aux très nombreuses aventures, coqueluche des médias et de la presse people.

La soirée s’annonce on ne peut mieux pour lui puisqu’il a invité une jeune femme à dîner. Et pour paraître à son avantage et être tout à fait libre de la séduire, il a commandé deux repas auprès d’un traiteur renommé.

 

Le livreur arrive, dépose les paquets et au moment où l’auteur va le régler, le jeune homme lui apprend qu’il n’a rien à voir avec cette livraison et qu’en fait, il n’est autre que... son fils et qu'il a imaginé cette substitution pour être sûr de l'approcher.

Pris entre deux feux : l’arrivée imminente de la jeune femme et cette révélation surprenante et déstabilisante, notre auteur est bien embarrassé et ne sait comment se sortir au plus vite de cette singulière situation...

 

Et puis, ce jeune homme est-il vraiment le fils qu’il prétend être ? Ne serait-il pas plutôt un imposteur qui viserait la fortune du romancier ?

 

Une pièce actuelle sur la rencontre puis la reconnaissance d’un fils par son père, un père-auteur qui ne voit au début, dans le jeune homme, qu’un personnage sorti tout droit d'un de ses romans et qu’à ce titre, il s’imagine pouvoir manipuler à sa guise.

 

Trois épisodes ponctués d’échanges vifs, d’accalmies, de bons mots, de rires aussi... Avec des armes blanches, une arme à feu, des bris de glaces, du sang, mais des peluches aussi et une émotion finale qui se dilue dans les recettes du Boulevard.

 

 Tout public. Durée : 1h30

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 Texte disponible sur le site le proscenium.




CLOWN POUR CIBLE

Jean-François CHAMPION

d'après "Faut-il tuer le clown ?"

Saison 2010-2012

 

Une fin de semaine dans la demeure normande du célèbre clown BROC. Ce clown a longtemps fait partie d'un duo de légende avec son partenaire BRIC mais celui-ci est décédé voilà quelques années.

 

Continuant de se produire en solo avec autant de succès, il vient subitement, et pour une raison connue de lui seul, d'abandonner la piste des cirques depuis six mois.

 

Un brin désabusé, cultivant l'humour noir et le cynisme,  BROC - de son vrai nom Ferdinand Brocoulier - a décidé ce week-end de quitter la vie et, faute de courage, il a engagé un tueur à gages pour le "suicider".

 

Mais cet ultime "numéro", pourtant bien huilé, va bientôt déraper car le tueur, un jeune délinquant inexpérimenté, va multiplier les maladresses à un rythme soutenu. 

 

De plus, la fille du clown débarque à l'improviste avec son petit ami flic. Elle est juge, s'oriente vers une brillante carrière et, voulant la faire avancer rapidement, elle a aussi invité à se joindre à eux son directeur - un Procureur de la République qui raffole des clowns dont BROC - et son épouse…

 

Cette comédie, par ses réparties parfois drôles parfois grinçantes, ses situations inattendues, ses nombreux rebondissements et son atmosphère parfois féerique, où le clown est pris pour cible, mérite de nombreux tours de piste.

 

Que le spectacle commence !

 

Tout public. Durée : 1h 35




LE VISITEUR

Eric-Emmanuel SCHMITT

Saison 2012-2014


 

Vienne, 1938.

 

 

Les nazis viennent d'envahir l'Autriche et persécutent les juifs. Optimiste et nostalgique, Sigmund Freud refuse de partir.

 

Ce soir du 22 avril, un "gestapiste" fait irruption dans le bureau du psychanalyste afin, une fois de plus, de lui soutirer de l'argent. Lasse de ces intimidations, Anna, une fille du professeur, se rebelle ; le nazi l'emmène à la Gestapo.

Tout à son désespoir, Freud ne voit pas entrer un mystérieux visiteur.

Qui est-il ? Un voleur ? Un fou ? Un magicien ? Un rêve de Freud ? Une projection de son inconscient ? Ou bien est-il vraiment celui qu'il prétend être : Dieu lui-même ?

Une pièce aux allures d’intrigue policière, baignée de chants nazis montant de la rue ou descendant de l'étage au-dessus mais aussi d'une aria de Mozart et d'une chanson d'Yvette Guilbert.

 

 

Public : lycée et adulte. Durée : 1h 35




Le Victor, un organiste d'occasion.
Le Victor, un organiste d'occasion.
Le Maire, un virtuose des mots fléchés.
Le Maire, un virtuose des mots fléchés.

CHACUN SA CROIX

Jean-Christophe BARC

Saison 2016 - 2017

 

Saint Crépin-la-voisine, un petit village perché sur les plateaux du Haut Jura, non loin de Saint-Claude, ravitaillé par les corbeaux.

C'est l'hiver, un hiver neigeux et glacial : il fait -5°.

Pour se réchauffer : "café, vin chaud ou bol de soupe".

 

Le village est en crise. L'épicerie de la mère de Jeanine, une bonne de curé revêche, vient de fermer et maintenant, c'est le bistrot-tabac du Louis qui menace de fermer à son tour, ce qui provoquerait la descente dans la vallée de nombreuses familles et entrainerait la fermeture de l'école et celle de l'église.

 

Le Maire "cerné par le hasard" et le curé "dont l'humeur est à l'ultimatum" se retrouvent au presbytère pour essayer de trouver une solution qui maintiendrait les deux commerces en activité et assurerait ainsi la survie de cette communauté. Mais : laquelle ? Et ce n'est pas  le Victor, "naïf et simplet", organiste d'occasion, inscrit à des cours de commerce par correspondance, qui détient la réponse.

 

Quand arrive de nulle part - c'est à voir ! - une jeune femme, jean, sac à dos, boots, aux manières frustres et au parler rugueux mais au grand cœur, qui semble bien connaître le curé...

 

Une comédie drôle, attendrissante et savoureuse.

 

Et même si la fin n'est pas très morale avec cependant la bénédiction du curé (!), installez-vous à leur table, vous allez passer un bon moment.

 

 

Tout public - Durée : 1h 30

 

 

Jeanine,  une bonne aux fourneaux
Jeanine, une bonne aux fourneaux
Le curé, d'une humeur à l'ultimatum
Le curé, d'une humeur à l'ultimatum

Rosa, une débrouillarde en tout genre avec un coeur grand/gros comme ça.
Rosa, une débrouillarde en tout genre avec un coeur grand/gros comme ça.

MATHILDE

Véronique Olmi

Saison 2016-2017



Chez Pierre - un cancérologue - et Mathilde - une romancière - un couple arrivé à l'âge de la maturité, cultivé et aisé, qui a déjà passé de nombreuses années ensemble et qui s'aime.

L'appartement est confortable... mais en désordre, comme après un déménagement.

 

 

Mathilde rentre dans ce chez-elle qu'elle partage avec Pierre, son époux, après une absence de trois mois. Cassée, brisée, cynique. Où était-elle ? Pourquoi est-elle partie ? Avec qui ? Que signifie ce retour ? Quels sont ses tourments ?

 

 

Son mariage  reposait sur des bases solides mais les années ont tracé des sillons ailleurs que sur son visage. Elle s'est rendue compte de la fadeur dans laquelle elle vivait, "comme si au lieu de vivre ma vie, je copiais sur les autres, en attendant que la vieillesse me saute au visage" et elle a voulu sentir la vie couler en elle, sentir battre son sang dans ses veines. Passionnée, passionnelle, elle a décidé brutalement d'écouter son désir et de l'assumer jusqu'au bout.

 

 

Au cours de cette nuit, le couple va se parler comme jamais auparavant. Ils vont confronter leurs souffrances et tailler un dialogue violent et rancunier.

 

 

Quel après pour rebondir suite à ce chapitre brûlant ?

Une histoire de gens, ni héros, ni paumés, simplement vivants.

 

 

 

 

Public averti – Durée : 1h 35.




JALOUSIE, JALOUSIES

Marc Camoletti

d'après "Sexe et jalousie"

saison 2017-2018

 Un mari qui aime sa femme - avec tout ce que l’amour comprend de composantes : tendresse, attentions, petits cadeaux, fleurs, sexe, instinct de propriété - est capable de n’importe quoi pour la conserver.

  Alors, qu’un autre homme la lui prenne ou tente seulement de la lui prendre, ce mari n’a plus qu’une seule idée en tête : se venger. Pour soulager cette autre composante que l’amour comprend : la jalousie.

Bernard – le mari – piège Robert – l’amant. ʺJ’estime avoir droit à une compensation pour mon préjudiceʺ. Et il lui propose, au choix, deux arrangements possibles…

 Une comédie ? Oui ! Mais aussi, un ʺagréable moment de légèretéʺ qui, de rebondissement en rebondissement, vous tient en haleine jusqu’au coup de théâtre final.

 

Public adulte - Durée : 1h 25

 



LE SOUPER

Jean-Claude BRISVILLE

saison 2019-2020

Dans un Paris occupé par des troupes étrangères, trois semaines après la défaite de Waterloo et l’exil de l'empereur, le peuple attend avec anxiété de savoir quel sort sera réservé au pays et assiège, en cette nuit du 6 juillet 1815, l'hôtel particulier de Talleyrand rue Saint Florentin à Paris où celui-ci reçoit Fouché, président du gouvernement provisoire, autrefois redoutable ministre de la police, maniaque du renseignement et artisan de la Terreur.

 

Talleyrand compte sur l'autorité de Fouché pour juguler la colère du peuple et permettre l'entrée dans Paris du roi Louis XVIII qui, de retour de Gand, attend pour l'instant à Saint-Denis.

Fouché, quant à lui, ne peut obtenir que par Talleyrand le pardon du roi pour son vote régicide de Janvier 1793 mais de ce roi il ne veut pas entendre parler et il se méfie des belles promesses de partage de pouvoir qui lui sont proposées s’il facilite son retour. Il nourrit même en secret un projet de "gouvernement populaire et de salut public où se retrouveront tous les républicains…"

 

Fouché et Talleyrand, ces deux ministres de Napoléon capables de tout, sont les figures psychologiquement les plus intéressantes de cette époque. Tous deux sont des cerveaux clairs, positifs, réalistes. Tous deux sont passés par l'école de l'Eglise et par la brûlante école supérieure de la Révolution. Tous deux ont le même sang-froid dénué de toute conscience pour ce qui est de l'argent et de l'honneur. Tous deux servent avec la même infidélité, la même absence de scrupules, la République, le Directoire, le Consulat, l'Empire, la Monarchie…

 





L'AFFRONTEMENT

BILL C. Davis

saison 2019-2020

Tim Farley, un vieux prêtre expérimenté, choyé par ses paroissiens, mais installé dans ses certitudes, à la foi vacillante, usé, désabusé, se propose d’encadrer Mark Dolson, un jeune séminariste ardent, décidé, plein de fougue et de franchise mais rebelle à l’institution qu’il juge rigide et sclérosée et qu’il voudrait voir évoluer.

 

On assiste alors entre les deux hommes à un affrontement subtil, parfois violent mais plein d’humour, dans lequel chacun évolue à chaque rencontre, découvrant l’autre et le forçant à se découvrir sur fond de sacerdoce des femmes, célibat des prêtres, posture de l’Église face à l’homosexualité,  poids de la hiérarchie…

 

Si l’intérêt de la pièce réside dans le suivi du cheminement intérieur de ces deux personnages, c’est également l’occasion d’une réflexion profonde sur la vie du prêtre au travers de sa relation avec Dieu et de ses relations avec ses paroissiens.

 

"Moi j’aime qu’on m’aime, l’affection de mes paroissiens est un réconfort auquel je tiens, je ne suis pas prêt d’y renoncer" affirme le père Tim Farley.

 

"L’Église est-elle aujourd’hui l’Église des hommes ou l’Église de Dieu ?questionne le jeune Mark Dolson.